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... retranscrits ou écrits en direct :
Rédigé par
Muriel Della Coletta, le
7. déc., 2014
Le Dauphiné Libéré du 20 novembre 2014, à propos de la première d'INVENTAIRES
Le public écoute, découvre, observe Barbara, Angèle et Jacqueline. Elles égrènent leur vie où amour, douleur, humour alternent avec charme. Dans une mise en scène
intimiste, sobre et délicate, Gilbert Pot a transformé la Maison De Launay en un salon accueillant et intemporel. Les 3 actrices sont brillantes, qui accrochée à son lampadaire, qui à sa robe, qui à sa bassine, objets fétiches de leur existence chaotique
et unique. Leurs propos se croisent, leurs paroles sont comptées et leurs trois monologues ainsi entrecoupés tiennent le public en haleine.
Rédigé par
Odyle Perrin, le
25. nov., 2013
Les pas perdus... ! Bravo à tous les participants et à Gilbert d’avoir très bien géré les séquences parlées, jouées, imagées. Les changements de personnages et d’humeurs (avec les changements de costumes) pour chacun, et le fait que vous interveniez
plusieurs fois, à des moments différents, dans différents lieux de la scène, était intéressant, et vivant. J’ai senti chacun engagé et affirmé dans ses choix, sa motivation. La fragilité de l’humain était là, et vous traversait. Simone,
J’ai aimé ton rire dès le début, (qui est revenu plusieurs fois) Ta colère dynamique de femme, ton humour sur “l’homme”, ton côté sérieux et militant sur l’état du monde ! Gilbert, le rythme très ponctué par des scènes courtes et variées (accentué
par les éclairages - éteindre, éclairer... groupe ou petits solos) mettait et gardait le public en éveil ! Bien les déplacements ! Le choix des accessoires (valises- horloge...), le bruit du train, les musiciens (!) simples et efficaces. Tu
as su laisser de l’espace aux acteurs, leur faire confiance et équilibrer le TOUT ! Bravo ! Odyle Perrin
Rédigé par
Jo Leblond, le
3. juil., 2012
J'ai passé une excellente soirée hier. Franchement j'ai trouvé le spectacle jubilatoire , j'ai beaucoup ri .
Il y avait aussi l'émotion face au désarroi de ces personnes broyées par la machine . Bravo , vraiment et sincèrement.
Et
félicitations aux comédiens qui sont remarquables comme toujours.
Rédigé par
Muriel, le
17. févr., 2012
Piemme, Pérec, Pot: il ne faut pas s'arrêter aux initiales pour conclure que le talent est une affaire de lettres. On pourrait pourtant ajouter Poésie. J'aime l'apparente sobriété des mises en scène, parfaitement maîtrisées, jamais redondantes, au service de textes caustiques et humoristiques, tendres et cruels. Dans ce Pérec, jusqu'au moindre accent de rouge dissimulé ici ou là mais bien visible, tout était faussement facile. Les comédiens jouent les fantoches avec sérieux. Chapeau les 4, enfin les 5, enfin les 6 car accessoires et costumes sont de la partie.
Rédigé par
Simone Monnet, présidente Les Amis du TJV, le
12. févr., 2012
Bravo aux comédiens et aux metteur en scène pour ce bon moment de théâtre; Un super Pérec dans ces "Espèces d'Espaces", rythme, jeu, déplacements le tout réussi. Un texte encore fort intéressant. Un texte certainement très difficile à mémoriser, chapeau encore aux comédiens.Courageux et réussi aussi d'être parti du texte en une seule phrase et de l'avoir ainsi rendu théâtral... Merci à tous
Rédigé par
Gilles Thorand, directeur du théâtre Jean Vilar Bourgoin-Jallieu, le
12. févr., 2012
Merci gilbert et bravo encore à chacun, "travail" intelligent et délicat, tt simplemt.
Rédigé par
Le Dauphiné Libéré 16 01 2012, le
12. févr., 2012
Un texte d'une telle virtuosité qu'il ne semble pas adapté au théâtre. Et pourtant, Gilbert Pot et le théâtre de la Nacelle en une mise en scène millimétrée, lui donnent vie. Un décor minimaliste avec des corridors tracés sur le sol, une table, une chaise, un damier qui structure les déplacements et permet à chaque personnage d'émerger. Le spectateur trouve, lui, ses repères dans le texte. Un vrai régal !
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